France, 9 octobre 2025 – Opella révèle les résultats d’une étude menée par Ipsos bva, pour la marque Novanuit, surl'impact des troubles du sommeil chez les femmes en période de préménopause et de ménopause¹, à l'occasion de la Journée mondiale de la ménopause (18 octobre). Les résultats révèlent que pour 75 % des femmes confrontées à des problèmes de sommeil, ces difficultés ont commencé ou se sont aggravées à la ménopause, qui démarre généralement entre 45 et 55 ans¹.

Le sommeil est un pilier fondamental de la santé, nous passons, en moyenne, un tiers de notre vie à dormir. Il est essentiel à la récupération, à la croissance et au bon fonctionnement de l'organisme² . De nombreux facteurs peuvent affecter la qualité du sommeil dans cette phase de la vie des femmes, notamment les bouffées de chaleur et les sueurs nocturnes, des changements hormonaux liés à l'âge ou encore des douleurs articulaires.

Les femmes en préménopause sont particulièrement touchées par ces symptômes. Elles sont plus nombreuses à ressentir une fatigue intense (69 % contre 42 % pour les femmes ménopausées)¹. Pour celles ayant déclaré des troubles du sommeil, cette fatigue est principalement due à des nuits moins réparatrices: 45 % d'entre elles rencontrent des difficultés à s'endormir et 55 % se réveillent plus tôt qu'elles ne le souhaiteraient. Paradoxalement, bien qu'elles soient les plus affectées, 68 % n'ont encore rien fait pour pallier leurs troubles du sommeil, contre 55 % des femmes ménopausées¹.

L'étude révèle également que, lorsqu'elles cherchent de l'aide, les femmesinterrogéesse tournent principalement vers leur médecin généraliste (47 %), leur pharmacien (27 %) ou leur gynécologue (24 %). Celles en préménopause sont plus enclines à chercher des informations sur Internet (49 % contre 32 % des femmes ménopausées)¹.

Enfin, l'étude met en avant le lien entre l'usage des écrans le soir et la qualité du sommeil. Plus de 4 femmes sur 5 (83%) se détendent devant un écran avant d’aller se coucher (tablette, téléphone, télé ou ordinateur)¹. Ce comportement peut perturber l'endormissement et fragmenter les nuits, notamment en raison de la lumière bleue émise par ces appareils. Les experts recommandent de limiter l'exposition aux écrans au moins une heure avant d'aller dormir² . Un sommeil de mauvaise qualité peut entraîner une irritabilité, des symptômes dépressifs, mais aussi augmenter les risques de prise de poids ou d'hypertension.

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¹ Ipsos bva, Opella/Novanuit, Les troubles du sommeil générés par la ménopause. Étude menée du 6 au 8 août 2025, auprès de 500 femmes françaises âgées de 45 à 65 ans, en situation de préménopause ou ménopause.
² Inserm, Sommeil, Faire la lumière sur notre activité nocturne (page consultée en octobre 2025)